Ecrit par & déposé en vertu de Divers.

Les dates sont à préciser

 

 

Roustan de la Tour : une conférence

 

Une soirée à la Médiathèque

sur un thème choisi avec Agnès Mauduit, Conservateur

 

« Malraux et la Reine de Saba, un rendez-vous manqué ? » conférence

 

 

Concert David Lévy

Récital J. S. Bach

 

Visite Juan les Pins ? voir brochure

Ecrit par & déposé en vertu de Retours sur images, Visites de musées et d’expositions.

Nous continuons notre parcours Picasso et visiterons l’exposition « Les vacances de Monsieur Pablo » au musée Picasso d’Antibes.

C’est inlassablement que Picasso, surnommé affectueusement dans cette belle exposition M. Pablo, revenait tous les ans, et ce depuis 1920, passer ses vacances d’été à Antibes. Amoureux des paysages, de l’architecture mais aussi des estivants, il s’imprègne des motifs de la Côte d’Azur pour enrichir ses toiles et les gorger de soleil.

Comme une nostalgie de la Méditerranée, le peintre esquisse des études et les reprend une fois rentré chez lui, sous les nuages de septembre. Et la passion ne tarit pas : Picasso y revient en pèlerinage après la guerre, en 1946.

De cette affinité naîtra la collection du musée d’Antibes, qui éclaire aujourd’hui de manière inédite, une centaine de ces œuvres exécutées au son des cigales.

Une exposition comme une plongée dans les cahiers de vacances du célèbre Catalan

Nous visiterons cette exposition en compagnie de Cécile You que nous serons heureux de retrouver !

Cécile You, notre charmante conférencière qui, souvenez-vous,  nous avait emmenés à Juan les Pins et à la Villa Eilen Roc à Antibes.
Ce sera le jeudi 13 décembre à 15 heures.

Rendez-vous 14 heures 45 devant l’entrée du Musée Picasso

Place Mariejol dans le Vieil Antibes

Participation : membres Académie Clémentine : 15 euros

Extérieur : 18 euros

Ecrit par & déposé en vertu de Les soirées de gala.

Vendredi 7 décembre à partir de 19 heures : Gala de Noël de Clémentine Villa Véra à Cannes

Conférence avec projections et films de Benoit Chenu autour du Général de Castelnau et la Guerre de 1914/1918

Arrière-petit-fils du Général, Benoit Chenu vient de sortir un ouvrage rapportant cette vie passionnante et parcourt la France pour faire connaître cet aïeul qu’il n’a pas connu.

En cette année de centenaire, il sera intéressant d’avoir un nouveau regard sur la Grande Guerre à partir d’archives familiales et inédites.

Le général de Castelnau : 1914-1918, la guerre des occasions perdues.

Le 14 juillet 1919, lors du défilé de la Victoire, quand parait le général de Castelnau sur son cheval, l’immense foule massée sur les Champs Élysées se met à scander : maréchal, maréchal ! L’opinion publique réclame réparation de ce qu’elle considère comme une injustice vis-à-vis de celui qui, avec les maréchaux Joffre, Foch et Pétain, formait le haut commandement français de la Grande Guerre. Au fil du temps, ce personnage si populaire va s’estomper de notre histoire militaire. En refusant d’écrire des mémoires et en édictant un embargo sur ses archives personnelles, Castelnau s’est lui-même exclu du roman national qui se forge dès l’Armistice. À propos de cette guerre, l’élite politico-militaire du pays s’entend en effet pour imposer la vision d’une union sacrée des Français derrière des chefs omniscients tels que Joffre ou Foch. De nombreux historiens, notamment étrangers, déplorent la perpétuation jusqu’à nos jours de cette vision anesthésiante. Tirant profit de la numérisation récente de l’énorme volume d’archives relatives à ce conflit, Benoit Chenu approche sous un angle inédit les principaux évènements. Puisant également dans des fonds d’archives étrangers, il montre notamment que, contrairement à la vulgate officielle, les occasions n’ont pas manqué de réduire le prix à payer par notre pays pour gagner cette guerre.

Jusqu’à une date récente, Benoît Chenu, arrière-petit-fils du Général de Castelnau, était cadre dirigeant dans un grand groupe français. Outre une passion ancienne pour l’histoire militaire, il possède une grande maîtrise des outils et des méthodes computationnelles ce qui lui a permis d’extraire au milieu de millions de documents numérisés, de nombreux inédits et de proposer une vision nouvelle de la Grande Guerre. Il vient de publier aux éditions Bernard Giovanangeli : « Castelnau, le quatrième maréchal ».

 

Ecrit par & déposé en vertu de Les soirées de gala, Retours sur images.

7 décembre 2018 : :

 

« Le général de Castelnau : 1914-1918, la guerre des occasions perdues »

 

Le 14 juillet 1919, lors du défilé de la Victoire, quand parait le général de Castelnau sur son cheval, l’immense foule massée sur les Champs Élysées se met à scander : maréchal, maréchal !

L’opinion publique réclame réparation de ce qu’elle considère comme une injustice vis-à-vis de celui qui, avec les maréchaux Joffre, Foch et Pétain, formait le haut commandement français de la Grande Guerre. Au fil du temps, ce personnage si populaire va s’estomper de notre histoire militaire.

En refusant d’écrire des mémoires et en édictant un embargo sur ses archives personnelles, Castelnau s’est lui-même exclu du roman national qui se forge dès l’Armistice.

À propos de cette guerre, l’élite politico-militaire du pays s’entend en effet pour imposer la vision d’une union sacrée des Français derrière des chefs omniscients tels que Joffre ou Foch.

De nombreux historiens, notamment étrangers, déplorent la perpétuation jusqu’à nos jours de cette vision anesthésiante. Tirant profit de la numérisation récente de l’énorme volume d’archives relatives à ce conflit, Benoit Chenu approche sous un angle inédit les principaux évènements.

Puisant également dans des fonds d’archives étrangers, il montre notamment que, contrairement à la vulgate officielle, les occasions n’ont pas manqué de réduire le prix à payer par notre pays pour gagner cette guerre.

Villa Véra à 18 heures, suivie d’un dîner.

l y a également la possibilité de participer à l’apéritif et à la conférence, sans rester dîner, et cela pour la somme de 10 euros.

La soirée se déroulera à la Villa Véra

51, avenue de Vallauris à Cannes

(coin avenue de Saissy, entrée par le n° 1 avenue de Saissy)

Apéritif, conférence/projections et dîner – participation : 37 euros

Apéritif et conférence : 10 euros

(chèque à donner avec l’inscription avant le 29 novembre, merci)

 

Ecrit par & déposé en vertu de Cercle Philo Sophia, Retours sur images.

« Nos Grandes Peurs, mythes et réalités au fil du temps »

Jeudi 29 novembre : Table Ronde à l’Espace Mimont à 18 heures 30 :

La fin du monde ne cessera jamais de nous menacer….

Autrefois, le ciel pouvait à tout moment nous tomber sur la tête. L’An mille devait être fatal. Et la peste ? Et les famines ? Et le péril jaune ? … Et le nucléaire ? Et le réchauffement climatique ? Et l’intelligence artificielle ? et le transhumanisme ?

L’Occident, l’humanité toute entière, voire la planète, sont en danger permanent. Mais, il y a sûrement des coupables qu’il nous faut désigner et réduire à l’impuissance afin de conjurer ces risques, déjouer les complots et apaiser les dieux.

Comment faisait-on pour propager ces craintes et désigner les boucs émissaires, en des temps où Internet n’existait pas, ni le téléphone ni même la poste ?

Les grandes peurs qui ont jalonné notre histoire recèlent beaucoup de mystères.

Qu’elles soient fondées ou imaginaires, elles nous posent une question : et si nous avions besoin de nous faire peur ? au bénéfice ou au détriment de qui ?

La question est toujours d’actualité.

Voir ci dessous les textes proposés par nos intervenants

LES GRANDES PEURS DES HOMMES PREHISTORIQUES (H. de Lumley)

Depuis ses origines, l’Homme au sein de la nature, a appris à maîtriser ses peurs face aux éléments naturels comme les feux de forêt allumés par la foudre et par les volcans ou face aux animaux féroces, comme le tigre aux dents de sabre (Homotherium), la Panthère géante (Meganthereon) ou la hyène géante (Pachycrocuta).

En présence de feux naturels allumés par la foudre et par des volcans, les premiers Hommes comme les animaux, devaient fuir. Néanmoins, quelques-uns plus audacieux s’en sont emparé et, capables de l’entretenir pour le conserver, ils l’ont apprivoisé. Lorsque le feu s’éteignait c’était le désespoir.

Ainsi quelques os brûlés, comme dans les grottes de Swartkrans et de Wonderwek, en Afrique du Sud, ou à Gesher Benot Ya’aquov en Israël, ont été découverts dans des niveaux très anciens, environ un million d’années à Swartkrans et Wonderwek, 800 000 ans à Gesher Benot Ya’aquov, dans des niveaux isolés, mettant en évidence que l’Homme, avait été capable de s’en emparer et qu’il savait le conserver.

Ce n’est qu’à une période beaucoup plus récente, il y a à peine 400 000 ans, à la limite des zones tempérées chaudes de la planète, qu’il est devenu capable de l’allumer à son gré. La domestication du feu a été un formidable moteur d’hominisation. Elle a fonctionné comme un moteur d’accélération de l’histoire de l’Humanité, en permettant d’allonger les jours et de prolonger par là même les activités. Prolongeant le jour aux dépens de la nuit, le feu a également permis de prolonger l’été aux dépens de l’hiver, ce qui a favorisé l’exploration de territoires encore inconnus et d’occuper pour la première fois les zones tempérées froides de la planète.

Le front d’hominisation de la planète s’en est trouvé considérablement modifié et agrandi : on note ainsi, que pendant les périodes de refroidissement climatique, l’Homme est présent dans le nord de l’Angleterre, dans le nord de l’Allemagne, en Belgique, dans le nord de la France et en Asie centrale. Il est d’ailleurs probable qu’à cette période, à la fin du Pléistocène moyen les Hommes aient pénétré pour la première fois au Japon, et peut-être aussi, en plusieurs vagues, sur le continent américain. La présence humaine devient ainsi permanente dans les régions septentrionales de l’Eurasie, comme à Choukoutien, en Chine.

Le feu a permis la cuisson de la viande et, par ce biais, il a modifié l’anatomie même de l’Homme, en entraînant l’expansion du crâne, l’étau musculaire ayant pu se relâcher du fait d’une mastication plus aisée. La fabrication des outils s’en est trouvée également améliorée, grâce au durcissement par le feu de la pointe des épieux.

La domestication du feu à surtout été un facteur de socialisation et de convivialité : c’est autour du foyer que s’est organisée et développée la vie sociale. On imagine des récits de chasse, racontés à la lueur des flammes, où la traque des éléphants ou des bisons prend des allures d’exploit, voire de mythe, et où les chasseurs se transforment en héros, voire en demi-dieux.

Autour de ces traditions de chasse prennent forme des cultures régionales et des sociétés, qui acquièrent unité et solidité. Les paléontologues peuvent, à partir de la maîtrise du feu, repérer et individualiser de grands groupes culturels dotés chacun d’une technologie particulière : c’est ainsi que l’on distingue la culture acheuléenne du Bassin parisien de la culture acheuléenne méditerranéenne. Ces pratiques technologiques devaient se fonder sur des structures de pensée communes.

C’est également autour du foyer que se développent les premiers habitats élaborés. Allumer un feu et l’entretenir représentent, dès la fin du Pléistocène moyen, des actes essentiels de la vie humaine préhistorique. L’habitat prend la forme d’un campement de base, où les Hommes reviennent, où les tâches sont partagées entre les hommes et les femmes, les parents et les enfants. C’est donc la maîtrise du feu qui a structuré l’habitat et qui l’a rendu permanent, tout en entraînant une division des tâches au sein des membres d’un même groupe.

C’est ainsi qu’autour du foyer, le soir après leurs randonnées de chasse, en évoquant leur aventures , à l’abri des grands prédateurs, que les Hommes ont peu à peu appris à maîtriser leurs grandes peurs et à dominer progressivement la nature au sein de laquelle ils se sentaient mieux intégrés.

Il faut souligner que la fonction sociale du feu a traversé les âges, puisque le terme de « foyer » désigne aujourd’hui soit un lieu d’habitat, soit une structure d’accueil, soit encore une cellule familiale et économique. C’est donc bien autour du feu qu’à débuté la grande aventure humaine, l’Homme ayant appris à maîtriser ses peurs.

Depuis plus de 2 500 000 ans, les premiers Hommes, des Homo habilis, qui émergent au sein des Australopithèques, ne sont plus essentiellement végétariens, mais deviennent consommateurs de viande, ils ne sont pas encore chasseurs redoutant l’attaque de grands carnivores.

Ils se procurent la viande qu’ils récupèrent par la pratique du charognage en recherchant au bord d’une rivière, d’un fleuve ou d’un lac des carcasses d’herbivores abattus par de grands carnivores.            Ils sont alors en compétition avec la hyène géante pour avoir accès à ces carcasses ainsi qu’en témoignent autour d’un squelette abandonné de grand herbivore, éléphant, hippopotame, rhinocéros, antilope, quelques pièces d’industries lithiques et des coprolithes de hyène. L’étude de la superposition des stries de découpe sur ces os permet de savoir si c’est l’Homme ou la Hyène qui est passé le premier.

L’Homme a alors su s’affranchir de ses grandes peurs en apprenant à écarter la hyène géante qui s’approchait d’une carcasse de grand herbivore.

Il y a 1 600 000 ans, avec les premiers Homo erectus, l’Homme est devenu susceptible de chasser, sans abandonner la pratique du charognage.

D’abord la chasse à l’épieu, c’est le corps à corps avec un grand herbivore qu’il cherche à abattre. Puis, un peu plus tard, la chasse à la lance qui permet de s’approcher de l’animal à abattre de quelques mètres seulement et qui implique déjà des stratégies de chasse élaborées.

Avec les Hommes modernes, il y a un peu moins de 30 000 ans, l’invention du propulseur a permis aux Hommes d’abattre l’animal chassé à un peu moins de 15m, enfin avec l’invention de l’arc, en affût dans la forêt, la chasse devient possible à plus de 50 m.

Grâce aux acquisitions progressives de la technologie liées au développement de la cognition, l’Homme est devenu capable d’affronter les grands mammifères avec de plus en plus de sécurité.

Ainsi, tout au long de leur longue histoire, les Hommes se sont progressivement affranchis de leurs grandes peurs, ont appris à garder leur sang froid devant le danger, pour mieux maîtriser la nature et assurer leur survie.

Chez les premiers Hommes, les Homo habilis, qui ont émergé il y a un peu plus de 2,5 millions d’années au sein des préhumains, déjà des hominidés qui avaient acquis la station érigée bipède, à jailli l’Esprit, avec l’apparition du langage articulé, l’émergence de la pensée conceptuelle et la naissance de la pensée réfléchie, comme le montre l’invention de l’outil manufacturé qui implique des stratégies de façonnage et de débitage élaborées. C’est alors que sont apparus les premiers balbutiements de la pensée symbolique et la quête de la transcendance ainsi qu’en témoigne le façonnage de boules polyédriques en quartz ou en quartzite, dont tous les points sont à égale distance du centre, qui paraissent symboliser la globalité de l’Humanité, de la Nature et de l’Univers.

Au cours du développement de la cognition, lié à l’accroissement progressif du volume du cerveau et à sa plus grande complexité, l’Homme s’interroge sur sa signification et sur sa place dans l’Histoire de l’Univers et de la Vie. Il prend peu à peu conscience du terme de sa vie et a peur de la mort. C’est alors qu’il veut poursuivre sa route au-delà de sa fin sur la Terre. Naissent alors les premiers rites funéraires.

Rappelons l’aven sépulcral de la Sima de Los Huesos dans la Cueva Mayor, Sierra d’Atapuerca, près de Burgos, en Espagne, au fond duquel ont été précipités une vingtaine de cadavres de défunts associés à un magnifique biface en quartzite (Excalibur), de couleur jaune, rouge et violacée qui n’a jamais été utilisé et qui est évidemment une offrande funéraire. C’est aujourd’hui le plus ancien témoignage d’un rite funéraire.

Pour s’approprier les forces physiques et les pouvoirs psychiques d’un défunt, et lui permettre de poursuivre ainsi sa route, les Homo erectus ont pratiqué un cannibalisme rituel ainsi que le montrent les restes humains fossiles de la grotte de la Caune de l’Arago (450 000 ans) et de la grotte du Lazaret (150 000 à 190 000 ans) ou ont été sélectionnés des crânes, des mandibules et des os longs contenant de la moelle, qui présentent des stries de découpe pour récupérer la viande et des fractures sur les os longs pour récupérer la moelle.

Rappelons aussi les sépultures néandertaliennes ou celles des Hommes modernes archaïques, celle d’un enfant de 9 ans dans la nécropole de Qafzeh qui tenait dans sa main un massacre de cerf symbole de résurrection datée de 92 000 ans, celle du vieillard de la grotte de la Bouffia-Bonneval à la Chapelle-aux-Saints inhumé avec un pied de bison et un thorax de renne pour son voyage dans l’au-delà, celle d’un enfant néandertalien d’environ 9 ans de la grotte de Shanidar dans le Turkestan irakien enseveli dans une fosse sépulcrale avec des fleurs des champs.

Avec les Hommes modernes, les Homo sapiens, les sépultures se multiplient comme, par exemple, celle de la Dame du Cavillon, à Grimaldi, commune de Vintimille, en Italie, qui a été inhumée, à l’âge de 37 ans, il y a 24 000 ans, parée d’une coiffe funéraire et d’un jambelet au-dessus du mollet gauche, pour son voyage dans l’Au-delà.

L’Homme a alors pris conscience de la poursuite de sa route dans l’Au-delà après son départ d’ici-bas. Il a vaincu ses plus grandes peurs.

 

Ugo Bellagamba – Auteur de Science Fiction – Professeur de Droit et d’Histoire des Idées Politiques à la Faculté de Nice-Sophia-Antipolis

La fin de tous les mondes possibles ou les Grandes Peurs dans la Science Fiction

La Science Fiction affectionne tout particulièrement les scénarios catastrophes et elle nous propose un florilège de fins du monde. Décryptons- le (ou les) ensemble, avec un zeste d’humour, et réjouissons-nous de savoir comment nous allons disparaître.

 

Philippe Coffinet – Neuropsychiatre, spécialiste des pathologies du sommeil

« Regards sur l’invisible »
La psychanalyse peut elle nous aider à y voir clair dans les mécanismes psychologiques (qui gouvernent nos peurs) souvent enfouis dans les archétypes de l’inconscient collectif? Tel sera le challenge!

 

Paolo Morlacchetti – Nos Grandes Peurs 

Est-ce « la peur qui a créé les dieux » comme disait Lucrèce, ou au contraire, la religion et la foi nous invitent-elles à ne pas avoir peur, en acceptant un ordre des choses fondé sur l’amour de Dieu ?

Les religions dirigent-elles les peurs ?

Nous essayerons, en parcourant l’histoire, les textes Bibliques et l’actualité de réfléchir à cette question fondamentale.

 

Ecrit par & déposé en vertu de Divers, Retours sur images.

Vendredi 19 octobre à 9 h 30

Visite du quartier Montfleury, rendez-vous devant les grilles du Gallia, avec Joséphine Saïa

 

Vendredi 19 octobre à 9 heures 30 Visite du Quartier Montfleury

Nous poursuivons notre découverte des différents quartiers de Cannes, aujourd’hui le quartier Montfleury.
Appelé Basse-Californie, le quartier possède de très belles villas Belle Epoque ainsi que d’anciens hôtels prestigieux comme le Gallia, l’ex Casino des Fleurs, l’hôtel Beau- Séjour ou encore l’hôtel St-Charles…

Nous verrons la villa dans laquelle la Gestapo avait installé son siège à Cannes.
Il est également réputé pour ses nombreuses écoles, ses équipements sportifs… sans oublier l’ancienne gare du funiculaire.

 

Visite accompagnée par Joséphine Saia, conférencière des Archives Municipales de la Ville de Cannes

Rendez-vous 9 heures 15 devant l’entrée du Gallia, 23 boulevard Montfleury.

Participation 8 euros – 10 euros pour les non-membres

Ecrit par & déposé en vertu de Retours sur images, Visites de musées et d’expositions.

Jeudi 11 octobre à 15 heures

« Arts traditionnels du Japon »

Conçue en partenariat avec l’Institut Lussato-Fédier (Bruxelles), l’exposition met en valeur la virtuosité des maîtres artisans du Japon, à travers quarante chefs d’œuvre datant du XVe siècle à nos jours, inspirés par la culture lettrée, les croyances et  les traditions populaires.
Un second volet révèle l’univers coloré et magique des fêtes rurales japonaises, grâce au      regard insolite du photographe Charles Fréger.

Cette exposition est organisée à l’occasion de la manifestation nationale« Japonismes        2018 », qui célèbre le160e anniversaire des relations diplomatiques entre la France et le  Japon.
Nous serons accompagnés pour cette visite par Christophe Roustan Delatour,

Directeur Adjoint des Musées de Cannes, Commissaire de cette exposition.

 

Rendez-vous à 14 heures 45 devant le Musée de la Castre

6, rue de la Castre – Cannes

Participation : membres 8 euros – non-membres 10 euros

 

Ecrit par & déposé en vertu de Retours sur images, Visites de musées et d’expositions.

Vendredi 5 octobre à 14 heures 30

Visite de l’exposition et déambulation dans la ville de Vallauris avec Céline Graziani,

« Picasso, les années Vallauris »

Organisée dans le cadre de « Picasso-Méditerranée », l’exposition « Picasso, les années Vallauris » explore, au cœur de Vallauris, dans les lieux mêmes où le peintre a vécu et travaillé de 1947 à 1955, la vie et l’œuvre de Picasso depuis son installation dans la ville provençale « La Galloise », jusqu’à son départ pour Cannes.

Conçue comme une série d’allers-retours entre la vie quotidienne et l’œuvre artistique de Picasso, l’exposition souligne la dimension profondément novatrice de son travail à cette période, tout en montrant l’attachement qui liait le maître espagnol à la ville.

En offrant à Vallauris en 1949 la statue « L’Homme au mouton », puis en peignant dans la chapelle de l’ancien prieuré, les monumentales peintures de La Guerre et la Paix, Picasso confère à son œuvre vallaurienne puissance et universalité.

Céline Graziani nous accompagnera pour cette déambulation parmi les différents lieux de l’exposition.

Rendez-vous à 14 heures 15 devant l’entrée du Musée Magnelli,

Place de la Libération à Vallauris

MERCI de vous inscrire pour cette visite

Participation : Membres 10 euros – Non membres : 12 euros

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