Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

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La villa Eileen Gray

 

En 1929. Eileen Gray, femme libre irlandaise au talent d’architecte avant-gardiste, est en train de finir de construire avec son compagnon de l’époque Jean Badovici, la villa au nom de code E-1027. Mais elle n’y vivra que quelques mois, préférant d’autres aventures créatrices. C’est donc Badovici qui restera vivre dans cette maison en bord de mer.

En 1938, Le Corbusier, devenu un habitué de Roquebrune, viendra peindre sept œuvres murales qui mêleront pour des décennies le destin de ces deux artistes du XXe siècle.

Et c’est grâce au talent, à la patience et à la volonté du Conservatoire du littoral qui a acquis la villa en 1999, mais aussi de l’association Cap Moderne, que la villa a retrouvé son âme de l’époque.

Aujourd’hui, la villa s’offre aux regards et dévoile son intimité, exactement comme Eileen Gray l’avait laissée.

Nous visiterons également le Cabanon, l’Etoile de Mer et l’Unité de camping réalisés par Le Corbusier.

 

Rendez-vous à 13 heures 45 devant la Gare de Roquebrune-Cap-Martin

Visite accompagnée par un conférencier attaché à ce site.

Il y aura trois groupes de 12 personnes, informations à suivre

pour les personnes inscrites

Participation : 20 euros par personne – à régler d’avance s’il vous plait.

MERCI

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Compte rendu :

C’était la «  rentrée » pour l’Académie Clémentine et nous étions une vingtaine sous un chaud soleil à la Villa Domergue.

Frédéric Ballester, très en forme, était intarissable sur le lieu, sur son histoire et sur César qu’il a bien connu.

Une vraie découverte que ces dessins, faits sur un coin de table chez son ami Jean Ferrero à Nice. Un César assez inhabituel, des dessins d’une grande sensibilité, drôles pour certains, loin en tous cas des grandes sculptures et des compressions.

L’exposition se termine le 27 septembre, juste le temps de s’y précipiter !
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Pour mémoire :

Connu surtout pour sescompressions ou ses sculptures, César est également un grand dessinateur.

Son ami Jean Ferrero (1921-1998) a collectionné ses dessins et cette exposition nous permet de découvrir – dans le cadre magique de cette Villa – une face méconnue de cet artiste.

Frédéric Ballester nous guidera à travers cette exposition et dans les jardins où sont exposées des œuvres de sculpteurs contemporains lui rendant hommage.

Rendez-vous devant la Villa à 14 heures 45

15, avenue Fiesole – CANNES

Participation : 10 euros – 8 euros pour les membres de l’Académie Clémentine

Nous terminerons cet après midi par un rafraîchissement partagé avec Frédéric dans  les jardins de la Villa

Ecrit par & déposé en vertu de Divers.

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L’Académie Clémentine est désormais présente sur Facebook.

Ecrit par & déposé en vertu de Les soirées de gala, Retours sur images.

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Gala Clémentine – Apéritif, dîner et conférence de J. Vannier « Le mythe du Taureau, de Lascaux à Picasso ». La soirée se déroulera à la Villa Véra, avenue de Saissy à Cannes

Vendredi 26 juin : Gala Clémentine

Le mythe du Taureau, de Lascaux à Picasso

Conférence avec projection proposée par Jacques Vannier

Depuis la nuit des temps, l’homme semble fasciné par les taureaux, parfois déifiés, sujets de cultes, mais parfois objets de sacrifice. De Lascaux à Picasso, sous tous les cieux et dans tous  les temps, des artistes ont témoigné de la relation complexe que nous entretenons avec cet animal. Vénéré comme principe de puissance et de fertilité, ou sacrifié dans l’espoir d’une appropriation de ses qualités.

Cette longue balade taurine dans l’histoire des hommes sera l’occasion de s’attarder sur quelques points particuliers. L’art pariétal était-il un art ou un culte ? Le taureau dans la mythologie grecque et crétoise, le culte de Mithra, Picasso qui s’identifie au Minotaure et se passionne pour la tauromachie.

La corrida espagnole moderne, avec ses rites très codifiés est véritablement cultuelle, pourra-t-elle survivre à l’urbanisation du monde ? Vaincre le taureau n’est-ce pas triompher d’une nature hostile ?

                 La soirée se déroulera à la Villa Véra

 

 

51, avenue de Vallauris à Cannes

(coin avenue de Saissy, entrée par le n° 1 avenue de Saissy)

Apéritif, conférence/projections et dîner – participation : 35 euros

 

(chèque à donner avec l’inscription, merci)

 

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2014-2015.

Le 21 juin à 19 heures la Fête de la Musique à la Chapelle Saint Cassien, concert suivi du pique-nique traditionnel sur le pré.

Dimanche 21 juin à 19 heures

Fête de la Musique

Chapelle Saint Cassien (sur la butte) – Aérodrome de Cannes-Mandelieu

Duo de Harpe

Cristina Gréco – Cécile Maudire

Merci à nos deux belles et talentueuses musiciennes pour ce si agréable moment partagé avec une assistance nombreuse en la Chapelle Saint-Cassien lors de la Fête de la Musique.

Le succès était aussi au rendez-vous, le lieu – magique – apportait son supplément d’âme et le public était sous le charme.

La soirée s’est prolongée par un apéritif et un pique-nique  » tiré du sac  » ; chacun, c’est maintenant la tradition, était venu avec son panier, nous avions dressé tables, jolies nappes blanches et chaises sur le pré. 
C’était  » pique-nique sur l’herbe  » !
 Le partage aussi s’est fait de table en table, c’était bien sympathique et chaleureux.
 Un grand merci à Geneviève et Jean-Pierre Vandini, les maîtres du lieu, pour leur hospitalité, leur gentillesse, et nous vous donnons à tous rendez-vous le 21 juin 2016.

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Cesar Franck : Prélude fugue et variationsGuiseppe Verdi : Variations sur un thème de la Traviata

Carlos Salzedo : Chanson dans la nuit

Marcel Tournier : Préludes

Mendelssohn : Les cloches du soir

L’entrée est libre, le concert sera suivi d’un apéritif offert par l’Académie Clémentine et d’un pique-nique sur le pré pour lequel chacun apporte son panier.

Les Amis de la Chapelle nous accueillent, nous pretent tables et chaises

Une soirée comme d’habitude musicale, mais aussi amicale et estivale !

 

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Saorge

Samedi 13 juin

Journée à Notre-Dame-des-Fontaines, la Brigue et Saorge

 

Lien pour retrouver toutes les photos en souvenir de cette belle journée :

https://plus.google.com/photos/112953194654307367335/albums/6160322810967926721?authkey=CNGryPijzc6VgQE

Notre traditionnelle sortie de fin d’année avec nos Amis des Archives nous emmène cette année dans la Vallée de la Roya, à la découverte des fresques de Notre-Dame-des-Fontaines, la Sixtine des Alpes Maritimes, et des villages de la Brigue et Saorge.

Un mini-concert d’orgue nous sera offert pour terminer cette journée dans l’église de Saorge.

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Notre-Dame-des-Fontaines                                                        

 

Notre-Dame des Fontaines, qui doit don nom aux sources abondantes qui entourent la chapelle date du XIIème siècle.

Au XVè siècle, deux peintres Giovanni Canavesio et Giovanni Baleison vont orner les murs de fresques qui n’ont pratiquement pas souffert du temps, et sont consacrées à la vie de Marie, à l’enfance de Jésus, au cycle de la Passion et au Jugement Dernier.

On a surnommé Notre Dame des Fontaines « la Sixtine des Alpes Maritimes ».

 

Le village de Saorge est perché à 200 mètres d’ltitude, puissante cité fortifiée par les ducs de Savoie.

Les ruelles sont encore bordées de maisons du XVè siècle, des églises baroques et un monastère franciscain, bâti au XVIIè siècle font de ce village une merveille baroque.

 

Nous aurons bien entendu une guide pour toutes ces visites et le déjeuner est prévu au restaureant « Le Bellevue » à Saorge.

 

Participation bus, déjeuner et visites

Membres Académie Clémentine : 58 euros – Non-membres : 60 euros

Départ 7 heures 45 de Notre-Dame des Pins, bld Alexandre III, à Cannes

Retour vers 19 heures

Inscription dès maintenant, accompagnée du chèque, merci.

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2014-2015.

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Concert Chœur Sahak-Mesrop – Saint Georges 7 juin 2015

Il y a cent ans, l’Arménie a connu le premier génocide du XXème siècle.

Pour rendre hommage à ces 1.500.000 morts, l’Union des Arméniens de Cannes et des Environs et l’Académie Clémentine ont organisé ce concert qui a touché au cœur une assistance très nombreuse et recueillie.

De nombreux Arméniens avaient rejoint l’église St Georges, beaucoup de Cannois avaient également souhaité partager ce moment, l’église était pleine.

La chorale de la cathédrale arménienne, dirigée de main de maître par son chef de chœur Yatchig Yilmazian a proposé un programme dans lequel se mêlaient chants traditionnels, musique sacrée, chants patriotiques à la gloire des héros du pays, ainsi que l’oratorio de Bartévian, inspiré du texte du grand poète arménien Siamento, « Vision de la mort »

Nous avons aussi entendu Fauré et Schubert,  magnifiés par ces 45 choristes, avec un excellent pianiste en symbiose complète avec le chœur et son chef, un orchestre à lui seul.

Ils nous ont tour à tour enthousiasmés, émus, bouleversés.

Une standing ovation et un tonnerre d’applaudissements ont terminé la partie musicale de ce concert qui s’est poursuivi sur le parvis en compagnie des choristes et de leur chef, autour de délicieuses charcuteries arméniennes.

Un concert que nous ne sommes pas près d’oublier.

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L‘annonce pour mémoire :

Le dimanche 7 juin à 16 heures 30 à St Georges, un concert pour la commémoration du centenaire du génocide arménien, organisé en partenariat avec l’  « Union des Arméniens de Cannes et des environs » : nous recevrons la chorale Sahak Mesrop – 45 choristes de la cathédrale arménienne du Prado à Marseille.

Le chœur arménien de Marseille a été créé en décembre 1977 avec  à sa tête Khatchig Yilmazian. Composé de 50 choristes, cet ensemble s’est fixé pour mission de faire vivre les œuvres anciennes et contemporaines du patrimoine musical arménien. Mais cela ne l’empêche pas d’aborder des œuvres « universelles », celles de Verdi, Fauré, Donizetti.

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Samedi 30 mai à partir de 9 heures 30

Les grottes de Grimaldi, le musée d’anthropologie de Monaco

Une grande et belle journée, pleine de découvertes et de surprise !

Tout cela a commencé par une descente dans les entrailles de la falaise du jardin exotique, 300 marches pour une plongée en spéléologie ! – 300 marches à remonter donc …

Mais la surprise était au bout, plutôt en bas, un paysage inattendu

A la base de la falaise du Jardin Exotique (dite « de l’observatoire » en raison de la présence ancienne d’un petit observatoire astronomique), à 100m d’altitude, s’ouvre une cavité souterraine aménagée pour les visites. La roche calcaire, creusée par l’eau chargée de gaz carbonique, est parsemée de cavernes ornées de concrétions aux noms évocateurs : stalactites, stalagmites, draperies, colonnes, spaghetti…

La présence d’hommes préhistoriques aux abords de cette grotte est attestée par les restes d’ossements des animaux qui constituaient leur nourriture. Ces vestiges témoignent également des variations climatiques qui se sont produites depuis 250 000 ans.

Nous avons poursuivi notre visite par le Musée d’anthropologie de Monaco, accueillis par le squelette d’un mammouth laineux mis à jour en Sibérie, vieux de plus de 30.000 ans.

Nous avons ensuite parcouru le musée avec ses riches collections réunies par le prince Albert 1er qui a inauguré le musée en 1902.

Nous y verrons les sépultures mises à jour aux Balzi Rossi, des restes d’animaux, des outils, témoins des premiers habitants de la Principauté.

Nous avons pu profiter du dernier jour de l’exposition « Le secret des pierres »

Halte à Menton pour un sympathique déjeuner et départ pour l’Italie (à 150 mètres de la frontière) pour la visite du site des Balzi Rossi (roches rouges), des Grottes de Grimaldi et des deux petits musées qui conservent des outils récupérés dans ces grottes.

Les grottes de Grimaldi sont situées à la frontière Italienne à quelques centaines de mètres de la commune de Menton, au pied d’une large falaise face à la mer. C’est un site qui a connu plus de 200 000 ans d’occupation par l’homme avec successivement la présence de pré-néandertaliens, de néandertaliens et enfin des premiers Sapiens (vers – 37 000 ans), qui sont venus habiter ces rivages.

En 1846, le prince Florestan Ier de Monaco ordonne les premières fouilles dans cette falaise haute d’une centaine de mètres.

Puis se sont succédé Emile Rivière, le chanoine Louis de Villeneuve, sous la direction du prince Albert Ier de Monaco et aujourd’hui des chercheurs italiens, monégasques et français.

Nous avons scruté la paroi de la grotte du Cavillon pour y trouver le fameux cheval

Nous sommes allés dans la grotte Florestan et devant la Barma Grande.

Toute cette journée n’aurait pas été possible sans les commentaires passionnants et passionnés de Patricia Valensi que nous avons retrouvée avec joie.

Elle nous a fait partager son savoir sans pour autant nous assaillir de formules compliquées ou abstraites, elle a rendu vivants tous ces endroits.

Tout cela avec le sourire, la disponibilité et la gentillesse, nous avons tous apprécié sa compagnie aussi savante que très agréable !

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Rappel de l’annonce initiale :

C’est une journée particulière et un peu exceptionnelle que nous vous proposons.

Elle débutera au Jardin Exotique de Monaco avec la visite de la Grotte de l’Observatoire et du Musée d’anthropologie préhistorique, fondé par le Prince Albert Ier.

Nous continuerons notre chemin vers Menton où nous déjeunerons puis nous passerons d’une centaine de mètres la frontière italienne pour nous rendre sur l’un des sites les plus extraordinaires de la région les « Balzi Rossi »

Il faut croire que l’homme préhistorique avait déjà le goût de la beauté, puisqu’il a habité ce lieu pendant plus de 200.000 ans, au pied d’une falaise de 100 m. de hauteur, que les Italiens ont appelé « Balzi Rossi », les Roches Rouges.

Dans ces grottes ont été trouvées les fameuses statuettes du Paléolithique, les « Venus de Grimaldi », vieilles de 35.000 ans.

Patricia Valensi sera avec nous toute cette journée pour nous faire partager son savoir et ses connaissances.

La participation à cette journée sera de 35 euros, comprenant les entrées dans les différents sites et le déjeuner.

Pouvez-vous me faire savoir le plus rapidement possible si vous comptez être présent.

De vos réponses dépendra le fait que nous prenions un bus ou si nous co-voiturions.

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Merci donc de votre retour qui nous permettra d’organiser au mieux cette journée, pour le confort de chacun.

 

Le rendez-vous sera dans tous les cas à 9 heures 30 devant l’entrée du Jardin Exotique

62, Bd du Jardin Exotique

98000 Monaco

Patricia Valensi, qui nous avait reçus à Tourrette-Levens l’année dernière, nous accompagnera pour cette journée.

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Mardi 5 mai  à 15 heures

Juan les Pins, la ville des années 1930

Visite de Juan les Pins – mardi 5 mai 2015

C’est en compagnie de Cecile You, notre conférencière de la Villa Eilen Roc qu’une vingtaine d’entre nous a découvert quelques « faces cachées » de Juan les Pins, du square Sydney Bechet à l’Hôtel Belles-Rives, c’est toute une époque que nous avons traversée.

Pour nos amis qui n’avaient pu se joindre à nous, en quelques mots l’origine de Juan les Pins : évidemment une pinède !

Un seul propriétaire de ce que l’on appelait alors « la campagne d’Antibes », le Baron d’Esclein.

En 1881, il va vendre une partie de sa pinède à la Compagnie Foncière de Cannes et du Littoral en vue d’y construire quelques villas.

L’architecte Ernest Macé sera choisi, et il y construira le Grand Hôtel de Juan les Pins, aujourd’hui disparu et sa propre villa « L’Isle Verte » qui existe encore.

La gare sera construite en 1882 et avec elle bien sûr l’arrivée d’hivernants.

Peu à peu la station se développe et des villas se construisent : de 47 en 1895 on en compte 92 en 1903. Nous en avons découvert quelques unes, cachées, à l’abri de la circulation.

En 1909 c’est le premier casino puis en 1926 Franck Jay Gould fait construire le Provençal qui attirera de nombreux touristes venus des Etats Unis.

A la fin des années 20 l’hôtel Belles Rives accueillera Scott et Zelda Fitzgerald et Juan les Pins deviendra alors le temple des intellectuels et des musiciens.

Des immeubles de style Art Nouveau naissent dans les rues, à « toit commun »comme l’on disait alors, – l’ancêtre de la copropriété.

Nous avons aussi découvert la villa « Holiday » dans laquelle Picasso est venu avec Thérèse Walter et leur fille Maya passer l’été 1936 ; une photo les montre sur l’escalier du perron qui n’a pas changé.

C’était une bien agréable promenade que nous avons terminée à l’intérieur du Belles Rives, sur sa plage, au bord du ponton sur lequel est né – paraît-il – le ski nautique.

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L’annonce pour mémoire

Une découverte de l’histoire de la station, de sa création au  XIXème siècle jusqu’à nos jours.

Vous admirerez les beautés cachées de Juan-les-Pins qui conquit déjà Maupassant et Monet lors de leurs séjours sur la Côte : les  villas de la Belle Epoque et leurs jardins luxuriants, les palais et dancings des Années Folles, les célébrités qui les fréquentèrent, la Pinède Gould et ses étoiles du Jazz…

Cécile You, notre conférencière de la Villa Eilen Roc, sera notre guide pour cette belle promenade.

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La Promenade du Soleil en 1930

Rendez-vous à 14 heures 45 devant le nouveau Palais des Congrès

60, chemin des Sables

Participation : 12 euros

Pour tous renseignements et inscritions : 06 10 27 13 54

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2014-2015.

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Le vendredi 17 avril, un beau concert de musique de Chambre à Saint Georges avec trois musiciens de l’Orchestre de Cannes : Berthilde Dufour au violon, Yannick Fournier au violoncelle et Altin Tafilaj à l’alto. Ils nous interprèteront deux sérénades, l’une de Beethoven, l’autre de Dohnanyi.

C’était hier, une magnifique soirée dans cette si belle église.

Berthilde, Yannick et Altin nous ont offert un Moment Musical unique, des pièces malheureusement peu jouées. Beethoven, Dohnanyi et leurs Sérénades ; Glière avec huit petites pièces pour violon et violoncelle : une découverte ! (vous pouvez les écouter sur internet) et un duo de Mozart.

Remercions nos grands interprètes qui font, à Cannes, honneur à la musique.

Merci aussi à Bertrand et Pascal qui mettent en place de si beaux éclairages.

Notre Adjoint à la Culture nous a fait la joie de passer saluer les musiciens.

Les chouquettes étaient là pour clore une douce et belle soirée.

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Le prochain concert à Saint Georges aura lieu le dimanche 7 juin à 16 heures 30. L’Arménie sera à l’honneur et la chorale de la Cathédrale arménienne de Marseille viendra commémorer le génocide le 1915.

 

Venez partager en musique ce moment d’émotion avec nos amis arméniens.

« SERENADES »

 Berthilde DUROUR, violon

Altin TAFILAJ, alto

Yannick FOURNIER, violoncelle

Dohnanyi : Sérénade en ut majeur, op. 10

Beethoven : Trio n° 2 en ré majeur “Sérénade”

 

 

Les billets sont en vente au prix de 12 euros pour les membres de l’Académie Clémentine

Prix public : 18 euros

Réservation auprès de Claude Moll 06 26 42 30 65

ou ac.clementine@orange.fr

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