Ecrit par & déposé en vertu de Divers.

Mardi 24 mars à 17 h Au Logis des Jeunes de Provence – 5, rue Mimont – 06400 – Cannes

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Cannes, le 2 février 2015

 

Madame, Monsieur,

 

Nous vous prions d’assister à l’Assemblée Générale annuelle de l’Académie Clémentine, qui se tiendra le :

 

Mardi 24 mars 2015 à 17 heures 30

 

Logis des jeunes de Provence – Salle Orson Welles

 

5, rue Mimont – CANNES

 

Ordre du Jour :

 

  • Rapports moral et financier par le Président et le Trésorier
  • Approbation des comptes 2013/2014
  • Projet d’activités 2014/2015
  • Questions diverses

 

En cas d’empêchement, merci de compléter et de nous renvoyer le pouvoir ci-dessous.

 

Nous terminerons cette assemblée en partageant le traditionnel « verre le l’amitié ».

 

Nous vous remercions par avance de votre présence et de votre fidélité.

 

 

 

Le Président : Jacques VANNIER

 

 

 

 

 

POUVOIR

 

Je soussigné ……………………………………………………………………………………………………………………….

 

Donne pouvoir à M. …………………………………………………………………………………………………………….

 

Pour me représenter à l’Assemblée Générale du 24 mars 2015

 

 

 

Fait à …………………….. le ………………………………….

 

Signature (précédée de la mention « Bon pour pouvoir »)

 

 

 

 

 

Académie Clémentine – c/o N. Sabbagh – 16, av. du Grand Pin – 06400 CANNES

 

 

 

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2014-2015.

Concert Saint Georges 13 mars 2015

Olivier Charlier, Marika Hofmeyr, Philippe Cauchefer

Un concert qui restera l’un des plus beaux de nos Moments Musicaux.

Trois musiciens dont le talent est immense, mais qui ont en commun ce petit «  Plus » qui les rend inoubliables.

Ils sont amis depuis longtemps, se connaissent parfaitement, ont une joie communicative de jouer ensemble, et cela ils savent le communiquer au public, à une église pleine jusqu’au dernier rang.

C’est donc une heure trente de bonheur musical, commencée avec le violon d’Olivier et la Partita de Bach avec laquelle il se fond, arrachant à son Bergonzi de 1747 des sonorités improbables et magiques.

Marika est venue le rejoindre et ils nous ont charmés avec une sonate de Brahms, toute en douceur et en complicité.

Un trio de Mendelssohn est venu terminer cette soirée, Philippe est venu apporter avec son violoncelle les accords plus graves et la vélocité indispensables à ce fougueux trio.

Ils nous ont offert le « Salut d’Amour » de Elgar pour un bis qui sonnait comme un beau message, et une «  standing ovation » a mis un point final à cette soirée.

Merci à eux, et merci à Bertrand pour ses lumières si douces, qui donnent à nos soirées une atmosphère particulière et unique.

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Merci à Maurice Rault pour ces beaux souvenirs photographiques

L’annonce pour mémoire : vendredi 13 mars 2015 à 20 h30 

Moment musical exceptionnel !

L’Académie Clémentine est très heureuse qu’Olivier Charlier lui fasse l’honneur de revenir à St Georges avec Marika Hofmeyr et Philippe Cauchefer.

  • Le vendredi 13 mars à 20 heures 30, un concert exceptionnel en l’église Saint Georges.

Nous recevrons Olivier Charlier, Marika Hofmeyr et Philippe Cauchefer pour une soirée dédiée à Bach, Schumann et Mendelssohn.

En première partie, Olivier Charlier interprétera la Partita II, BWV 1004, en ré mineur, de Jean-Sébastien Bach, dans l’écriture d’origine de la main de Bach, puis avec Marika Hofmeyr, la sonate op. 78 de Johannes Brahms ; enfin Philippe Cauchefer les rejoindra pour le  trio op. 49 de Félix Mendelssohn et quelques surprises !

              Retenez votre soirée !

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Jeudi 12 février à 18 heures

Exposition Fautrier, la figuration libérée

à la Malmaison

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Compte rendu :

Exposition Fautrier, la figuration libérée – La Malmaison, le 12 février 2015

C’est, à travers Fautrier, tout l’univers de la gravure que nous avons exploré pendant deux heures trente avec Frédéric Ballester lors d’une passionnante visite.

Fautrier, l’artiste de la souffrance, en opposition à Picasso l’artiste de l’exubérance, est considéré comme l’un des créateurs de l’art informel, synthèse habile de l’abstraction lyrique et du « nuagisme ».

Né le 16 Mai 1898 a Paris, il perd son père très jeune et s’installe avec sa mère à Londres où, il découvre Turner qui restera son modèle pendant toute sa vie.

A 14 ans il entre au Collège Royal de Londres et y termine ses études.

Installé en 1921 à Paris, il fait la connaissance d’André Malraux, alors directeur de collection chez Gallimard. Ce dernier lui propose d’illustrer les 34 chants de l’Enfer de Dante. Gallimard refusera les 34 gouaches qui ne seront donc pas tirées mais dont quelques unes sont exposées, œuvres ayant appartenu personnellement à Malraux.

Il fera la connaissance alors avec l’avant-garde littéraire de l’époque, Ponge, Paulhan, Eluard, Bataille. Pour tous ces écrivains poètes il illustrera de nombreux livres dont plusieurs sont montrés dans l’exposition.

Arrive la guerre, il entre dans la Résistance et se réfugie à Chatenay Malabry où il continuera de composer des œuvres très marquées par cette époque, notamment «  Les Otages », en hommage aux morts d’Oradour sur Glane.

Mais jamais, après la guerre, il ne rencontrera le succès, il vivra des heures difficiles et s’éteindra le matin de son mariage, le 21 juillet 1964.

Des œuvres rares, d’une grande poésie, une parfaite maitrise de toutes les techniques de la gravure, un grand artiste que cette exposition nous fait mieux connaître et dans l’intimité duquel, grâce aux nombreuses évocations de Frédéric, nous avons eu le sentiment de pénétrer.

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Légendes des photographies :

Fautrier

Femme allongée 1935

Frédéric Ballester

Torse de femme 1947

Robert Ganzo « Lespugue » 1940, illustré par Fautrier, hommage aux Venus de la Préhistoire

L’exposition

La main de l’artiste 1964

Annonce pour mémoire :

Pour célébrer le cinquantenaire de la disparition de Jean Fautrier, le Centre d’art présente des œuvres graphiques et un travail de gravure de ce peintre qui a partagé ses idées avec l’avant-garde littéraire dès 1920.

Des œuvres en lien avec les textes de Paulhan, Eluard, Ponge voisinent avec des gravures jamais exposées, ayant fait partie de la collection personnelle d’André Malraux.

Nous serons bien sûr accompagnés par Frédéric Ballester.

Rendez-vous à 17 heures 45 devant la Malmaison

47, la Croisette à Cannes

Participation : 5 euros

Pour tous renseignements et inscritions : 06 10 27 13 54

 

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Le samedi 7 février à 15 heures nous avons visité la Villa Eilen Roc à Antibes, les jardins et la roseraie.

Visite Villa Eilen Roc – Cap d’Antibes – le 7 février 2005

Léguée à la Ville d’Antibes en 1980 par Madame Beaumont, la Villa Eilen Roc conserve encore aujourd’hui toute sa beauté.

Nous avons eu la chance de visiter cette belle demeure du XIXème siècle et, avec notre conférencière Cécile, nous avons pu, par « l’escalier de service », (l’escalier principal étant en réfection suite à un dégât des eaux sur le toit), pénétrer dans les appartements privés du premier étage.

Le rez-de chaussée se compose de salons de réception, d’une magnifique véranda meublée d’un canapé art déco qui fait face à un miroir, d’un bureau auquel deux fauteuils en cuir et un canapé donnent une chaleur très british.

Monsieur Merli, maire d’Antibes dans les années 1980, avait paraît-il jeté son dévolu sur cette pièce que l’on surnomme encore aujourd’hui « le bureau du Maire ».

Les murs sont ornés de différents tableaux appartenant à la Ville et quelques objets ayant appartenu à Madame Beaumont sont posés dans des vitrines.

Au premier étage, une chambre d’amis, «  la chambre bleue », dans laquelle ont dormi quelques chefs d’état et autres célébrités et sa salle de bain au carrelage particulièrement élégant et la «  suite Beaumont », celle des propriétaires, leur salle de bain en marbre, une baignoire et un lavabo en marbre vert, et une douche « multijet » d’origine.

Nous avons tous été frappés par le raffinement des moindres détails de la décoration de ces appartements, l’élégance et les proportions de chacune des pièces, la chaleur qui s’en dégage.

Nous avons continué notre visite sur la terrasse pour profiter de la vue magnifique et d’un mer un peu agitée puis nous sommes allés vers la Roseraie – sans roses à cette époque de l’année (venir en mai) et terminé notre après midi dans le petit éco musée de l’olive, qui rassemble tous les outils de jardinage trouvés sur place.

Une bien belle visite – sans pluie – qui donne envie de retourner au printemps pour flâner dans l’odeur des roses !

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Rappel de l’annonce :

La villa, qui appartient à la Ville d’Antibes, doit recevoir une manifestation le mardi 10 février. Notre visite est donc avancée au samedi 7 à la même heure. Nous visiterons l’intérieur, ainsi que les appartements du premier étage, qui ne sont pas ouverts au public.

Tous les renseignements pour le rendez-vous en temps voulu.

Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire pour cette visite, le nombre de participants étant limité à l’intérieur de la villa.

Villa Eilenroc

C’est l’architecte français Charles Garnier qui fit les plans de cette villa de style néo-classique, construite entre 1860 et 1867.

Un riche Hollandais , Hugh-Hope Loudon, ancien Gouverneur des Indes Néerlandaises souhaite en effet venir passer l’hiver sur la Riviera et donne à cette ville le nom de Eilenroc, anagramme du prénom de son épouse Cornélie.

Vendue en 1873 à un Ecossais, elle passera ensuite entre les mains de plusieurs propriétaires jusqu’en 1927, année pendant laquelle elle sera achetée par le couple américain Louis Dudley et Helene Beaumont.

Ils y recevront de nombreux artistes et y mèneront une vie mondaine et intellectuelle.

En 1982, Madame Helene Beaumont (1895-1988) lègue sa propriété à la ville d’Antibes sous condition de créer une « Fondation Beaumont » destinée à gérer et exploiter ce patrimoine et d’ouvrir le parc au public avec oliveraie et roseraie, en bordure de mer, d’une superficie de 11 hectares.

 

Participation à la visite 10 euros

Rendez-vous à 14 heures 45 devant la villa, avenue Mrs Beaumont – Cap d’Antibes

Parking intérieur sous réserve.

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Mardi 27 janvier à 15 heures

CR  visite Espace Calmette le 27 janvier 2015

 

1914 – 1918 La Grande Guerre, vue de l’arrière, à Cannes

 

 

Le 2 août 1914, c’est la mobilisation générale et la fin d’une époque pour la Ville de Cannes.

Finis les fastes et la vie facile pour une part des ses habitants, ils étaient 30.000 en 1914, dont 10.000 Italiens,  dans une situations ambiguë puisque l’Italie n’était pas encore dans le camp français.

 

Ce sont ce que l’on appellerait aujourd’hui «  les dommages collatéraux » que cette exposition montre et explique de manière très illustrée et bien documentée.

 

La vie quotidienne bouleversée, les magasins pris d’assaut, le rationnement, les grands hôtels et certaines villas réquisitionnés et transformés en hôpitaux, un effort financier demandé aux Cannois pour subvenir aux besoins des familles dont le père était parti au front, autant de problèmes que le Maire, André Capron et le Préfet des Alpes Maritimes André Joly devront gérer dans le long terme.

 

La vie des femmes, des enfants, celle aussi des « Poilus » cannois, avec des correspondances et des photos émouvantes, est également présentée.

 

Et c’est à Cannes, à l’hôtel Carlton, que se réunira, du 6 au 13 janvier 1922, la conférence pour la Paix, en présence de Winston Churchill et de Loyd George.

 

Cette exposition dure jusqu’au 30 juin, n’hésitez pas à aller la visiter.

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« Cannes au temps de la Grande Guerre »

Si Cannes ne fut pas directement touchée par l’horreur de la guerre, le premier conflit mondial a marqué profondément la cité.

De nombreux Cannois furent mobilisés et Cannes devint un immense hôpital.

Les archives de la ville nous permettent d’offrir un regard unique et fourni en documents, sur ces temps difficiles.

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Une intéressante exposition est présentée actuellement à l’Espace Calmette, pour nous permettre de découvrir comment les Cannois se sont organisés pour faire face à la pression des évènements.

Participation : 5 euros

Rendez-vous à 14 heures 45

18, rue Calmette à Cannes

Pour tous renseignements et inscription : 06 10 27 13 54

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Lundi 12 janvier 2015 à 15 heures CR visite Palais Lascaris NICE Nous étions 21 pour une très intéressante visite de ce qui reste le dernier témoignage de ces fastueux palais baroques, construits à Nice au XVIIème siècle. La famille Lascaris-Vintimille a acheté cinq maisons pour les réunir et construire, en 1657, cette riche demeure. Un escalier d’apparat, décoré de fresques et de statues dessert les cinq étages – sans ascenseur pour l’administration dont les bureaux sont au 5ème – . La devise des Lascaris nous accueille dès l’entrée.

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« La foudre même ne peut m’atteindre »

 Les salons de réception occupent le 2ème étage, les appartements privés de la famille Lascaris le 3ème et les logements des domestiques le 4ème.

Nous visitons successivement ces riches pièces, décorées de tapisseries aux motifs mythologiques,  aux plafonds peints de motifs historiques, les meubles proviennent soit du Palais originel, soit d’autres palais aujourd’hui disparus, de Nice ou d’Italie du Nord.

Une chapelle privée, utilisée par la famille jusqu’en 1744 est également conservée.

Enfin une infime partie de la très belle collection d’instruments de musique anciens (600 pièces, du XVIème ai XXème siècle) est exposée à tour de rôle, collection léguée par la famille Gautier à la Ville de Nice, qui s’efforce de l’enrichir au gré des possibilités.

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Le Palais Lascaris à Nice La splendeur de cette aristocratique demeure reflète la puissance de la famille Lascaris. Ce palais, édifié au début du XVIIème siècle, est resté la propriété des comtes de Lascaris jusqu’à la Révolution. Après diverses fortunes, il est aujourd’hui propriété de la Ville de Nice, monument historique, et récemment rénové.

Capture d’écran 2014-12-08 à 17.51.36 Nous découvrirons son architecture baroque, ses salons aux plafonds décorés de scènes mythologiques, œuvres de peintres génois des années 1680. Une belle collection d’intruments de musique anciens est également abritée entre ses murs. Nous serons accompagnés pour cette visite par un conférencier du Patrimoine. Rendez-vous à 14 heures 45 devant le Palais 15, rue Droite à Nice (parking Saleya) Participation : 12 euros

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2014-2015.

NOËL BAROQUE, Vendredi 19 décembre à 20 heures 30 Capture d’écran 2014-09-30 à 15.15.51  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Iane Roulleau, soprano – 

Philippe Tallis, violon

Jean-Emmanuel Caron, viole de gambe

Franck Barbut, clavecin

Après un petit détour chez nos amis protestants, les Moments Musicaux retrouvent leur cadre habituel et vous proposent un Noël Baroque, auquel ils ajouteront quelques surprises.   Sur des instruments anciens (clavecin, viole de gambe et violon) les trois musiciens accompagneront la belle voix de Iane Roulleau dans un répertoire choisi pour cette soirée de Noël.

L’ensemble  » Prima la Musica  » rassemble des musiciens qui ont en commun l’amour de la musique.Ils placent au premier plan la recherche de l’expression musicale, de l’interprétation, de l’écoute indispensable à la relation en continuo. Ils s’attachent également à la théâtralité du texte chanté, tout en étant respectueux de la partition, qu’ils font vivre par leurs personnalités respectives. L’ensemble est à géométrie variable selon les programmes, et son répertoire va des pièces de musique ancienne les plus connues, que l’on ne se lasse pas d’écouter, aux pièces moins connues. L’ambition de  » Prima la Musica  » est de faire découvrir ou redécouvrir ces pièces, qui sont pour la plupart oubliées bien qu’elles ne le méritent pas, et qui sont, malgré les préjugés, tout à fait originales.

Toute l’atmosphère de Noël dans ce concert, donné sur des instruments anciens,

des musiques de Bach, Telemann, Martin Marais, Haendel.

Le tarif est de 12 euros pour les membres de l’association qui peuvent réserver dès

maintenant auprès de Claude MOLL : 06.26.42.30.65 ou ac.clementine@orange.fr

A l’issue du concert, sur le parvis de l’église, buffet de Noël et vin chaud partagé avec les artistes.

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

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Jeudi 11 décembre à 15 heures

SÂDHUS, les hommes saints de l’hindouisme

Olivier Remulado Musée des arts asiatiques – Nice Nous avons eu la grande chance d’être accueillis par Olivier Remualdo, le photographe, il nous a consacré son après midi. Le Musée des arts asiatiques avait aménagé pour nous la Rotonde, ce qui a permis à la vingtaine de Clémentins présents d’être confortablement assis pour l’écouter, lui poser des questions, et parcourir ensuite avec lui l’exposition de photos. Une découverte pour certains, des souvenirs de voyages pour d’autres, un moment de partage. Un thé indien (tchaï) nous attendait dans le salon de thé du musée et Olivier s’est prêté avec son sourire et sa gentillesse habituels à la  » corvée  » des dédicaces de son livre que beaucoup d’entre nous ont emporté sous le bras, c’est bientôt Noël ! Pour ceux qui n’étaient pas là, quelques mots sur ces « Hommes sains de l’hindouisme ». En sanskrit, le terme Sâdhus signifie littéralement homme de bien ou saint homme. Ils mènent une existence de renoncement souvent faite d’errances. Leur quête de sagesse est motivée par le désir d’atteindre l’état d’éveil. Chez les hindouistes, le but ultime de toute vie est de mettre un terme au cycle des réincarnations, d’atteindre « moksha » qui est la libération de « mâyâ », l’illusion. On compte plus de 5 millions de Sâdhus et de Sâdhvis (femmes) en Inde et au Népal. Certains d’entre eux sont des brâhmanes ayant accompli leurs obligations, qui choisissent de finir leur vie en ascète ou en ermite. D’autres le deviennent afin de s’extraire d’une caste, ou pour d’autres raisons matérielles ou spirituelles. Les chemins empruntés sont nombreux et comme eux-mêmes l’affirment, les sâdhus n’ont pas de passé. Dans leur recherche d’absolu, les sâdhus s’adonnent à des récitations de mantras (prières), pratiquent le contrôle du souffle, le yoga et la méditation. L’abstinence sexuelle est généralement de mise et permet de préserver une force considérée comme source majeure d’énergie spirituelle. Ils pratiquent également des rituels et des tapas. Ces dernières sont des austérités tel que des vœux de silence ou de ne pas manger d’épices. Elles peuvent aller très loin: station debout permanente durant des années ou encore, garder un bras en l’air sans jamais le baisser… La pratique des tapas est censée augmenter l’énergie spirituelle. Il existe deux principales familles de Sâdhus. Les Shivaïtes portent une robe safran, ils sont dévoués à Shiva. Parmi eux, les Nagas babas sont les plus nombreux. Ils vivent généralement nus et couverts de cendres, ils portent également de longues jatas (dreadlocks). Les Vaishnavas sont des dévots de Vishnu et de ses avatars (Rama, Krishna,…). Plus sobres en apparence que les Shaïvas, ils sont vêtus d’un tissu jaune ou blanc. On les distingue également à la forme de leur Tilak peint sur le front. Aujourd’hui encore, les Sâdhus sont fortement impliqués dans la vie quotidienne. Notamment dans les villages et à la campagne, prodiguant des conseils et intervenant comme médiateurs dans les conflits. Ils vivent dans des ashrams et des ermitages ou sont des moines errants parcourant le sous-continent. Ils vivent d’aumône et possèdent peu de choses, généralement ce qu’ils peuvent emporter avec eux.   Annonce pour mémoire :

Ces portraits empreints d’une spiritualité profonde ont été réalisés par Olivier Remualdo entre 2009 et 2011.

Ils sont le fruit de rencontres, d’échanges et de partage entre un photographe authentique et ces êtres qui ont tout quitté

pour se consacrer au voyage, à la prière, à la méditation.

Olivier sera présent pour notre visite, il nous parlera avec ses mots si vrais de la vie qu’il a menée à leurs côtés ; il répondra à nos questions, il partagera avec nous cette riche expérience.

A l’issue de la visite, la maison de thé nous sera réservée pour un moment d’échange avec lui autour d’un « tchaï » indien.

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MUSEE des ARTS ASIATIQUES

Rendez-vous à 14 heures 45 devant le Musée

405, promenade des Anglais à Nice

Participation : 5 euros par personne

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Vendredi 21 novembre à 15 heures

« Sous la lumière de Renoir »

Situé au coeur d’un magnifique domaine planté d’oliviers et d’agrumes, le Domaine Renoir

constitue le témoignage émouvant de l’univers créatif et familier du peintre qui a passé dans

cette maison les 12 dernières années de sa vie à Cagnes-sur-Mer

Tout juste rénové, il vient de rouvrir ses portes au public après 18 mois de travaux, pour

proposer un regard neuf mais toujours émouvant et authentique sur le site tel que l’a connu

Renoir.

Rendez-vous à 14 heures 45

19, chemin des Collettes à Cagnes sur Mer

Co-voiturage possible, me contacter

Participation (visite accompagnée par une conférencière) : 10 euros

Chaussures confortables pour visiter le jardin

Domaine des Collettes – Maison de Renoir

Vendredi 21 novembre 2014

Un beau soleil et une lumière splendide nous ont accueillis ce 21 novembre à Cagnes sur Mer dans la maison d’Auguste Renoir.

C’est en 1908 que Renoir a acheté ce domaine de 3 ha, planté d’oliviers centenaires.

Atteint de polyarthrite rhumatoïde,  il a du quitter Paris pour un climat plus doux et, après plusieurs séjours dans une maison «  La Maison de la Poste » en plein centre de Cagnes, il trouve ce domaine agricole, occupé alors par un fermier.

En 1907 Renoir peut acheter ce domaine ; son épouse Aline et lui ont alors 3 fils, Pierre, Jean et Claude.

Renoir souhaitait emménager dans la ferme, mais Aline souhaitait une grande maison.

Renoir finit par céder et fit donc construire cette grande maison en pierre, sur 3 niveaux,

Les caves au sous-sol, salon, salle à manger, cuisine, logement pour les domestiques au rez de chaussée, et au premier les chambres d’Auguste, de son épouse, les chambres d’enfants et trois chambres d’amis.

Pour toutes ces chambres une seule salle de bain mais le chauffage central et l’eau courante.

Nous avons parcouru cette maison en compagnie de Jessica, conférencière attachée au Domaine, avec toutes les explications, les anecdotes, tout ce que cette maison familiale a connu.

Sa chambre, dans laquelle il est mort, et surtout son grand atelier, dans lequel est encore en place son fauteuil, et le grand chevalet

Puis chacun a pu visiter le jardin, la ferme, regarder une video avec un passage du «  Déjeuner sur l’Herbe » tourné dans ce lieu par Jean Renoir en 1959.

Un lieu à découvrir pour ceux qui n’on pu être présents.

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Jeudi 13 novembre à 15 heures, rendez-vous 14 h 45 sur le parking haut de la Fondation, à Saint Paul.

Accompagnée par Monsieur Olivier Kaeppelin, Directeur de la Fondation

Participation 13 euros

Membres de la Société des Amis : gratuit.

Jeudi 13 novembre à 15 heures, – Olivier Kaeppelin, Directeur de la Fondation Marguerite & Aimé Maeght, nous recevra pour nous présenter lui-même l’exposition du Cinquantenaire  » Face à l’Oeuvre  » .

De 1964 à 2014, 50 ans, 50 artistes, 50 oeuvres qui ont marqué l’histoire de la Fondation.

Face à l’œuvre – Fondation M. & A. Maeght

Jeudi 13 novembre 2014

En cette année du cinquantenaire de la Fondation, trois grandes expositions se déroulent à St Paul.

Une première ce printemps, consacrée à J. L. Sert l’architecte, cet été «  Face à l’œuvre », un retour sur les grandes œuvres qui ont marqué la Fondation et, à partir de cette fin novembre «  Ceci n’est pas un musée », en hommage à la phrase prononcée par André Malraux dans son discours d’ouverture en 1964.

« Face à l’œuvre », c’est ce rapport que chacun d’entre nous entretient avec l’œuvre d’art, ce qu’elle lui dit, ce qu’elle évoque pour lui, ce lien unique et solitaire qui se crée entre l’ouvre et celui qui la regarde, un face à face singulier.

Cette exposition met en perspective les choix d’Aimé et de Marguerite, parfois inattendus pour l’époque, avec des œuvres plus modernes, en proie encore aujourd’hui aux débats de l’histoire.

Monsieur Kaeppelin, Directeur de la Fondation, avec son immense érudition mais aussi cette si grande gentillesse, nous a consacré deux heures de son temps précieux pour évoquer pour nous Kandinsky, Bacon et ses portraits, Barcelo, Miro, Tal Coat, Rebeyrolle, Tapiès, et tant d’autres.

Une visite passionnante, que de choses apprises, pour nous aussi que de dialogues avec de grandes œuvres.

 

 

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