Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Le lundi 10 novembre à 14 h 30, nous irons à Vallauris visiter la XXIIIè Biennale Internationale – Création contemporaine et céramique.

Les artistes russes sont cette année à l’honneur.

Tous les deux ans se tient à Vallauris la « Biennale Internationale – Création contemporaine et céramique ».

 C’est en 2014 la XXIIIème édition de cette manifestation que l’Académie Clémentine affectionne et visite régulièrement.

Il s’agit d’un concours avec différentes sections (Contenant – Design – Céramique architecturale, sculpturale et conceptuelle). C’est cette dernière section qui réunit généralement le plus de candidats.

255 dossiers ont été étudiés cette année par un jury composé de personnalités du monde de l’art et de la céramique.

Un pays est invité lors de chaque Biennale à présenter ses œuvres. Après les USA, la Chine ou le Japon, la Russie est présente cette année avec des pièces emblématiques de ce pays au riche passé en matière de porcelaine et d’objets d’art.

Céline Graziani, coordinatrice de cette manifestation, nous a accompagnés avec ses commentaires aussi fournis qu’intelligents, et Danièle Layet, ancienne adjointe à la Culture, nous a fait profiter des son expérience lors des deux Biennales précédentes, toutes deux nous ont apporté un éclairage indispensable.

Deux heures trente que nous n’avons pas vues passer, le Musée avec les pièces de Sergei Isupov, l’Eden consacré à la Russie, le Bibelot et pour terminer l’installation du Japonais Masamichi Yoshikawa à la Chapelle de la Miséricorde.

Quelques photos pour illustrer cette belle visite, et merci à ceux qui ont bravé les intempéries pour être présents, ils ne l’ont pas regretté !

 

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Vendredi 24 octobre à 15 heures

« Les Belles endormies de Bonnard à Balthus »

Un voyage au pays du sommeil et du rêve avec une cinquantaine d’oeuvres d’artistes

modernes de la fin du XIXème siècle : Vuillard, Vallotton, Matisse, Picasso, Brancusi,

Manguin, Van Dongen…

Notre conférencière habituelle, Fanny Lejay, nous accompagnera dans cette exposition dédiée au

mystère de ces « sleeping beauties ». Dorment-elles vraiment ? à quoi pensent-elles ? A quoi rêvent-elles ? Et nous en contemplant ces oeuvres ?

Compte rendu ;

Les Belles Endormies

Musée Bonnard, le 24 octobre 2014

 

          « Je rêve donc je suis »

          A. Strindberg

 

 

Passionnante et longue visite pour les 25 heureux Clémentins ce vendredi après midi au Musée Bonnard.

Fanny Lejay nous a guidés parmi ces belles ensommeillées, cherchant à percer le mystère de ces modèles – la plupart du temps les épouses ou les muses – de Bonnard, Brancusi, Matisse, Picasso, Vallotton, Vuillard, Manguin, Van Dongen, autant de peintres présents dans cette exposition.

Le titre de l’exposition fait référence au livre du japonais Yasunari Kawabata paru en 1966 évoquant ces très jeunes filles endormies, pour passer une nuit de sommeil auprès d’hommes âgés et leur permettre de retrouver une jeunesse perdue.

Depuis la fin du XIXè siècle, cette idée de rêve et de sommeil a inspiré de nombreux artistes et est devenu un archétype dans la peinture, la sculpture, la photographie, la poésie ou la littérature.

Il faut associer à cette émergence la découverte de la psychanalyse et l’on ne peut oublier Freud et son « Interprétation des rêves ».

Pensons également aux « Mille et une nuits », à la « Belle au bois dormant ».

Fanny a insisté sur la difficulté pour un peintre de représenter un modèle endormi, ce qui suppose la non-communication d’une forme d’énergie entre les deux protagonistes d’une œuvre d’art. « Le modèle est mon énergie » disait Matisse.

Quelques toiles ont été particulièrement étudiées, notamment « L’indolente » de Bonnard, œuvre emblématique d’une « Belle endormie », un portrait de Marthe très intime, évoquant le laisser aller du corps dans l’endormissement, dans une forme d’abandon.

De Bonnard à Maillol, ce thème du sommeil, associé au désir ou à une sorte de mort passagère, est une source de créativité intense.

Car qui dit sommeil dit aussi réveil, et un peintre qui rêve sans doute de se transformer en Eros pour redonner vie à sa «  belle endormie ».

 

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Bonnard : Femme endormie, 1928

Rendez-vous 14 heures 45 devant le Musée Bonnard

6, boulevard Sadi Carnot – Le Cannet

Participation : 10 euro

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2014-2015.

  • LES MOMENTS MUSICAUX DE L’ACADEMIE CLEMENTINE

    CONCERT au TEMPLE DE L’EGLISE PROTESTANTE UNIE

    7, rue Notre-Dame – CANNES

    Samedi 4 octobre 2014

    BALADE & IMPROVISATIONS

    AUTOUR D’UN PETIT PRINCE

    ORGUE et VOIX

    Sophie-Véronique Cauchefer-Choplin, orgue

    Solange Boulanger, récitante

    Pauline Choplin, récitante

    Isabelle Guiard, récitante

     

    Improvisations

    Pièces de Gabriel Fauré  (1845-1924)

    Pièces de Charles-Marie Widor (1844-1937)

     

    Au hasard de textes lus par les trois récitantes, Sophie Cauchefer-Choplin répondra par des improvisations, par des thèmes musicaux indissolublement liés à la poésie et au charme d’une aventure poétique universelle.

    Le secret de cette soirée : se laisser emporter par la musique et les voix, laisser son imagination vagabonder pour un moment hors du temps.

     

    Sophie-Véronique Cauchefer-Choplin : organiste du grand orgue de Saint Sulpice à Paris, professeur au Royal College of Music de Londres

    Solange Boulanger : comédienne et lectrice – réalisatrice de « concerts-lectures » et de concerts musicaux sur France-Culture

    Pauline Choplin : comédienne formée au cours Florent, pianiste et membre de la chorale du Delta (direction Colinne Serreau)

    Isabelle Guiard : comédienne formée au Conservatoire supérieur d’art dramatique de Paris dans la classe de Michel Bouquet

  • Prix des places : 18 € (12 € pour les membres de l’Académie Clémentine)
  •  Capture d’écran 2014-09-18 à 18.04.43

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  • Prochain concert : Vendredi 19 décembre 2014 – 20 heures 30

    EGLISE SAINT GEORGES

    NOËL BAROQUE

    Bach, Haendel, Buxtehude, Marais

    Iane Roulleau, soprano – Philippe Tallis, violon

    Jean-Emmanuel Caron, viole de gambe – Franck Barbut, clavecin

    Académie Clémentine – 16, avenue du Grand Pin – 06400 – Cannes 06 10 27 13 54

    www.academie-clementine.org     ac.clementine@orange.f

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

 » De l’expressivité primitive au regard inspiré. « 

Plus de 200 sculptures d’art premier d’Afrique (Collection Jean Ferrero) sont confrontées aux œuvres du XXe siècle à nos jours, de Picasso à Robert Combas.

Visite suivie – pour ceux qui le souhaiteront – d’un dîner avec Frédéric Ballester, le 26 septembre à 18 h 00.

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De l’expressivité primitive au regard inspiré

La Malmaison – 26 septembre 2014 – Compte rendu

C’est un Frédéric Ballester très en forme qui nous a reçus ce 26 septembre à l’heure de la fermeture de la Galerie.

Comme d’habitude nous étions «  chez nous », avec un « accompagnateur » aussi passionnant que passionné.

Une première impression de fouillis très organisé, une mise en perspective très attentivement conçue pour une rencontre entre les arts dits «  premiers » et ce que nos artistes « modernes » leur doivent.

Il est difficile de décrire cette exposition que vaut également et peut être surtout au premier regard pour le non initié/spécialiste par le coup d’œil, par ce qui nous saute à la figure dès la première salle, ces couleurs, ces formes, ces sujets inhabituels, dérangeants pour certains.

Frédéric nous a commenté certaines œuvres en particulier, a retracé la genèse de la découverte par les Européens de cet art « exotique », les premiers voyages au début du XIXè siècle de Gauguin le tout premier, puis de Derain, de Vlaminck qui vont découvrir les objets fabriqués par ces ethnies africaines qui inventaient ce dont ils avaient besoin dans l’immédiateté pour leurs rituels, leurs cérémonies initiatiques ou intercessions auprès des esprits, des sorciers ou autres chamans.

C’était des objets que nous dirions aujourd’hui « utiles », dont on peut sentir en les touchant combien ils ont été utilisés, touchés, caressés.

Beaucoup ont ensuite été détruits, enterrés dans des fosses avec des branchages et redécouverts parfais par hasard

En Europe c’est la course à la nouveauté dans de nombreux domaines, architecture, science, danse, musique, peinture etc, et tous nos artistes vous puiser à cette source nouvelle pour démolir un modèle traditionnel jusqu’à la coupure de la Guerre de 1914.

Mais l’Afrique continuera d’inspirer l’art et elle continue encore aujourd’hui. Dans les années 1950, Arman, César, Hartung y feront de nombreux voyages.

Une dernière remarque en réponse à une question : pourquoi pas d’art océanien dans cette exposition ?

A la différence de l’art africain qui fait référence au quotidien, qui est plus immédiatement accessible, l’art océanien est essentiellement dirigé vers le culte des ancêtres, sans doute plus difficile à appréhender, moins «  expressif ».

La soirée s’est terminée dans l’amitié d’un dîner dans notre habituelle «  cantine », le Legend Café, l’ambiance était détendue, chaleureuse comme à l’accoutumée.

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

«  Clémenceau, le Tigre et l’Asie » jeudi 18 septembre à 15 heures

Visite accompagnée et commentée par Valérie Leferme conférencière du Patrimoine

 

Pour notre premier rendez-vous de l’année, nous nous sommes retrouvés devant l’entrée de ce magnifique musée des arts asiatiques.

Nous étions 24, attendus par Valérie Leferme, conférencière du Patrimoine.

Avec elle nous avons parcouru cette riche exposition, découvert un Clémenceau méconnu, attachant, volontaire, têtu dans ses prises de position, ne s’avouant jamais vaincu.

Quelle vie ! homme politique, médecin, collectionneur acharné, fondateur d’un journal « L’Homme Libre », tellement censuré au début de la première guerre mondiale qu’il le rebaptisera « L’Homme Enchaîné », il est l’auteur de la fameuse formule « J’accuse ».

Grand ami de Monet, grand voyageur, les Etats-Unis où il vivra 4 ans, mais surtout l’Asie où il ira à la rencontre d’une civilisation et d’une spiritualité qui l’ont toujours attiré et passionné. Ceylan, la Birmanie, la Malaisie et Singapour avant de gagner l’Inde où, fasciné par le Bouddha, il s’est rendu sur les lieux saints du bouddhisme.

Cette exposition nous montre une grande partie de sa collection, dont une partie fut dispersée en 1894 lors du scandale de Panama, et qui compta jusqu’à 6.000 objets.

Estampes, peintures, kôgôs ou boîtes à encens japonais, masques, céramiques, mais aussi photographies, quelques toiles de son grand ami Monet, objets et ouvrages lui ayant appartenu, notamment son ouvrage «  Au soir de la pensée » écrit deux ans avant sa mort, sorte de testament spirituel.

Il conserva la plupart de ces objets jusqu’à la fin de sa vie, dans sa maison de Saint-Vincent-sur-Jard en Vendée et dans son appartement parisien, devenu musée Clemenceau, notamment les 500 petites boîtes à encens (kôgô) parmi les 3100 que Clemenceau accumula toute sa vie, aujourd’hui conservées au musée des Beaux-Arts de Montréal et présentés aujourd’hui dans l’exposition, une exceptionnelle vitrine.

Mais, loin d’accumuler les objets dans un seul but esthétique, Clemenceau voulait comprendre leur signification profonde, s’imprégner du sens et de la pensée dont ils étaient issus, raison de son pèlerinage sur leurs lieux de création.

Quelques idées pour mieux connaître cette face cachée du « Tigre » :

Visiter à Paris le Musée Clémenceau 8, rue Franklin, le musée d’Ennery 59, avenue Foch, sa maison et son jardin au bord de l’océan de Vendée.

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Musée des Arts asiatiques

405, promenade des Anglais

Nice

 

Surnommé «le Tigre», Georges Clemenceau s’inscrit dans l’histoire comme l’une des figures politiques les plus importantes de son temps. Celui qui ne fut pas seulement homme d’État et chef de guerre nourrissait une véritable passion pour l’Asie, ses arts, ses civilisations, ses religions. L’exposition est consacrée à cet aspect méconnu de l’homme illustre, grand collectionneur d’objets asiatiques.

Axée sur sa découverte de l’Inde et du bouddhisme, sur l’orientalisme et son intérêt pour l’Asie, la collection de Clemenceau rassemble quelque 800 objets dont une partie fut dispersée en 1894 lorsque, frappé par le scandale de Panama, Clemenceau dut se résoudre à vendre sa collection aux enchères. Estampes, peintures, kôgôs ou boîtes à encens japonais, masques, céramiques, mais aussi photographies sont les témoins de cette passion pour les arts de l’Extrême-Orient.

Loin d’accumuler les objets dans un seul but esthétique, Clemenceau voulait comprendre leur signification profonde, s’imprégner du sens et de la pensée dont ils étaient issus. Clemenceau, le Tigre et l’Asie, révélera comment cet homme, orientaliste, promoteur du dialogue des cultures, contribua à diffuser la connaissance de l’art et des civilisations de l’Asie auprès du public français.

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Ecrit par & déposé en vertu de Divers.

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L’Académie Clémentine sera présente à cette journée  » Portes Ouvertes « .

Les dernières informations sur le programme de la Saison à venir, les concerts, les manifestations prévues ou déjà organisées.

Une  » boite à idées  » pour vos suggestions ou autres commentaires.

Une occasion pour reprendre  (ou prendre) votre adhésion.

Et surtout nous rencontrer.

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2013-2014.

CONCERTS DE MUSIQUE CLASSIQUE 


Jeudi 21 Août – 21h – Chapelle Saint-Georges 
Avec les lauréats du Conservatoire de Kazan (Tatarstan) et du Conservatoire de Cannes.

Des artistes qui seront les vedettes de demain appréhendent le « frisson » de scènes prestigieuses et la rencontre avec le public, tout en enrichissant leur univers créatif au gré de collaborations et d’échanges avec de jeunes talents cannois.

Des soirées d’une exceptionnelle qualité.

 

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Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2013-2014.

LES MOMENTS MUSICAUX DE L’ACADEMIE CLEMENTINE

LES AMIS DE LA LA CHAPELLE SAINT CASSIEN

Vendredi 11 juillet 2014 – 22 heures

L’ensemble « L’IMPATIENCE » aura donné ce concert en Avignon et à Marseille quelques jours avant.

Musique ancienne sur des textes du luthiste anglais John Dowland, W. Shakespeare, Thomas Woodson

L’Impatience est en ensemble formé en 2009 par de jeunes musiciens désireux de faire partager leur passion pour la musique ancienne et de retrouver l’authenticité de l’interprétation musicale propre à chaque répertoire. Pour chaque spectacle, il s’attache à apporter un soin minutieux au choix des instruments et à s’approprier les différents contextes artistiques, thématiques ou historiques.

Ensemble L’IMPATIENCE :

Bérénice Benedetto, Comédienne-danseuse

Roxane Bauzin, Superius vocal

Marie Breillat et Sebastian Vargas, luths

 

A B S E N C E : Musiques et textes de John Dowland, William Shakespeare et leurs contemporains – Londres XVIe

  • Upon Ut re mi fa
  • All ye whom Love or Fortune
  • In darkness let me dwell
  • Think’st thou then by thy feigning
  • My lord Willoughby’s Welcome Home
  • Burst forth
  • Can she excuse
  • Dear, if you change
  • Twenty ways upon the bells
  • Come away
  • Go crystal tears

  • Capture d’écran 2014-08-07 à 11.30.12Capture d’écran 2014-08-07 à 11.30.27
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Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2013-2014.

 

  • Samedi 21 Juin 2014 :  Fête de la musique à la Chapelle Saint Cassien
Saint Cassien

Vendredi 21 juin à 19 heures

Fête de la Musique

Chapelle Saint Cassien (sur la butte) – Aérodrome de Cannes-Mandelieu

 

La Classe de Harpe du Conservatoire de Cannes fête la musique

Cécile Maudire et quelques uns de ses élèves nous offriront un romantique moment musical.

Programme :

– St John’s March (traditionnel irlandais arrangé par Janet Harbison)

– Sérénade de Schubert

– Trio de violoncelles

– Sérénade mélancolique de A.Hasselmans

– le cygne de St Saens (duo harpe et violoncelle)

– Fantaisie de Hahn

– Sonate pour flûte et harpe de Donizetti. ( Flûtiste : Alexander)

– Les adieux du ménestrel à son pays natal de John Thomas

– Cueca, trad.amérique du sud

Les élèves participants:

Liliana Guzman, Marion Menzer, Elena-Sofia Carteciano, Jeanne Betry, Mathilde Moussu, Juliette Laval, Julia Touze, Melanie Decelle, Blanche Ballesta. Plus trois violoncellistes du cours de Florence Laugénie.

Blanche BALLESTA pour le cygne de Saint Saens

Clélia JONCOUR Laurelyn BORDET Floriane CATALANOTTI pour « Strenuous life » de Scott Joplin

« La classe de harpe du conservatoire à rayonnement départemental de Cannes est composée d’élèves de 6 à 18 ans.

Aujourd’hui ce sont les élèves des 2ème et 3ème cycle qui vous présentent un concert autour du grand répertoire de la harpe classique, avec aussi un détour par la harpe irlandaise et la harpe d’Amérique du sud.

Les élèves commencent par apprendre sur les harpes celtiques, puis au bout de 5 ans passent sur la harpe classique avec l’apprentissage de tout un jeu de pédales: il y en a 7, qui correspondent aux dièses et bémols de toutes les notes de la gamme. La fin des études est validée par un certificat d’études musicales, ou pour ceux qui veulent aller plus loin, par un diplôme d’études musicales. Ce dernier est une première étape vers une éventuelle professionnalisation.

Les études au conservatoire demandent rigueur, méthode et ténacité… mais quel plaisir quand enfin on monte sur scène et qu’on se fait entendre.

Un grand merci à Florence Laugénie et ses élèves violoncellistes et à Caroline Debonne et ses élèves flûtistes.

Bonne fête de la musique!

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Comme l’an dernier, le concert (entrée libre)

sera suivi d’un pique-nique sur le pré (chacun apporte son panier).

Quelques photos de la soirée :

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Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2013-2014.

 

  • Mardi 17 juin  à 20 heures 30 : Concert à Saint Georges

     

    27, avenue du Roi Albert – CANNES

     

    Les Moments Musicaux de l’Académie Clémentine

     

     

  • EXPRESSIONS XX et I

     

    « Cordes »

     

    Hommages aux cordes, vocales, frottées ou pincées

     

     

    Suzanna Rosander, voix – Ihab Azzeldin, oud et voix

     

    Véronique Sulbout, guitare – Mariko Baujard, violon

     

    Mislava Bensaid, violon – Vanessa Leteuré, alto

     

    Alain Baldocchi, alto – Florence Laugénie, violoncelle

     

     

    Un voyage musical, de l’Allemagne au bassin méditerranéen et sa musique arabo-andalouse.

  • Voir le compte rendu ci-dessous
  • Voir le détail du programme  et les commentaires sur les oeuvres jouées ci-dessous
  • Le tarif est de 10 euros pour les membres de l’association qui peuvent réserver directement  auprès de l’association en téléphonant à notre Trésorière Claude Moll au  06.26.42.30.65  ou par mail :  ac.clementine@orange.frA l’issue du concert, rafraîchissement en compagnie des artistes sur le parvis de l’église.
  • Expression XX et I logo
  • Capture d’écran 2014-04-21 à 18.45.32

 

Concert Expressions XX et I

17 juin 2014

« CORDES »

 

Compte rendu

Nice-matin Cordes 17.04.14

Un bel hommage aux cordes, le titre du concert a été respecté tout au long de la soirée.

Une assistance attentive et presque recueillie pour ce moment musical un peu inhabituel, sortant des sentiers battus de ce que l’on appelle « la musique classique ».

Ils étaient huit musiciens et une «  conteuse », les poètes étaient au rendez-vous entre chaque pièce, choisis et dits par Marybel Dessagnes, présidente de l’association Expressions XX et I.

Après une brève présentation de cette association, les musiciens se sont succédé en différentes formations : solistes, duo, trio et quatuor.

Quelques moments forts, quand Alain Baldocchi a joué une sonate d’Hindemith en 5 mouvements d’Hindemith, une musique difficile dans laquelle il se donne entièrement, un très joli duo violoncelle/guitare pour une sonate de Radamès Gnattali.

Et puis l’apparition au fond de l’église du oud de Ihab Ezzeldin et de la voix de Suzanna Rosander, un dialogue arabo-néerlandais, improvisé sur le thème de l’amour et de l’espoir, un bien joli et émouvant moment.

Nous avons eu une vraie satisfaction en voyant l’église très bien remplie, avec la présence de Thomas de Pariente, nouvel adjoint à la Culture dont c’était la première visite, et pas la dernière il nous l’a promis !

Une incitation sans doute à proposer au public de temps en temps des musiques nouvelles, à satisfaire une curiosité des notes d’aujourd’hui, une demande qui existe bel et bien cette soirée en a été la preuve.

Merci de votre présence.

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Bon été et rendez-vous le samedi 4 octobre à Notre-Dame de Bon Voyage, pour une ballade autour d’un petit prince.

ZIAÂD, 5 zelliges sur des thèmes arabo-andalous pour Oud et Alto de Marybel DESSAGNES (2013)

Oud et voix: Ihab EZZELDIN – Alto: Alain BALDOCCHI

 

« ZIAÂD” est une oeuvre constituée de cinq miniatures représentées par des partitions en forme de           « Zelliges ». Il s’agit d’une confrontation entre la musique traditionnelle arabo-andalouse et la musique contemporaine.
Chaque « Zellige » (=mosaïque faite de motifs arabo-andalous), ici dessinés par Nadège VIGUIÉ, fille de la compositrice, constitue une paire: une pour l’alto et une pour le oud, dont l’assemblage est librement choisi par les deux musiciens. Il s’agit donc d’une forme ouverte, où chaque interprétation diffèrera.

Les éléments musicaux sont composés par Marybel DESSAGNES, empruntés au folklore traditionnel arabo- andalou, et aussi à la musique de son père, Gontran DESSAGNES, lui-même compositeur pianiste et chef d’orchestre, inspiré par cette tradition. En effet, ancien Directeur du Conservatoire d’Alger, Gontran DESSAGNES a oeuvré pendant toute sa carrière à la réunification des peuples musulmans et européens, notamment en créant en Octobre 1946 des classes de musique arabo-andalouse, un orchestre classique arabo-andalou sous la direction d’Ahmed SERI, avec des programmes en français et en arabe donnant la traduction de poèmes chantés.

Marybel DESSAGNES a voulu modestement en écrivant « ZIAÂD » rendre hommage au grand visionnaire qu’était son père, à cette tradition de terres où ses origines familiales ont pris racine, à cette civilisation arabo-andalouse à l’art tantôt mélancolique, ardent, mystique et foisonnant. Puisse cette confrontation géographique et temporelle vous toucher, comme cette plongée dans un passé familial lointain et inconnu l’aura interrogée et émue.

www.marybel-dessagnes.eu

 

TIENTO pour guitare de Maurice OHANA (1957)

Guitare: Véronique SULBOUT

 

Né le 12 juin 1913 à Casablanca, Maurice Ohana a fait presque toutes ses études musicales en France, tout en poursuivant ses études classiques. Il s’orienta quelques temps vers l’architecture qu’il abandonna pour se consacrer entièrement à la musique.

Très jeune, il débute comme pianiste au Pays Basque où sa famille est fixée ; sa carrière reste prometteuse jusqu’à la guerre qui va l’entraîner loin du monde musical mais aussi l’y ramener, à Rome, où il est l’élève et ami d’Alfredo Casella à l’Académie Sainte-Cécile.

Sitôt démobilisé, il se fixe à nouveau à Paris en 1946. C’est à cette époque que ses premières œuvres sont connues en France. Il fonde, avec trois amis, le « Groupe Zodiaque », qui se propose de défendre la liberté d’expression contre les esthétiques dictatoriales alors en vogue. Et jusqu’à ce jour, il continue à faire sien le manifeste de ces combats de jeunesse.

Fidèle à ses origines andalouses, tout en élargissant leur essence musicale à des dimensions universelles, Maurice Ohana a progressé vers une synthèse où l’on retrouve les recherches et les préoccupations de la musique actuelle. Tout d’abord en ce qui concerne la gamme, qu’il libère du carcan diatonique, du rythme qu’il tend à affranchir de la barre de mesure, et des techniques vocales qu’il ramène vers leurs vertus originelles, hors de l’empire du bel canto.

Pianiste dès son enfance, il a conservé une prédilection pour cet instrument mais a aussi contribué à enrichir divers domaines instrumentaux, notamment la percussion, par des ouvrages comme le « Silenciaire », les « Quatre Etudes », devenues un classique, des pièces pour la nouvelle guitare à dix cordes, ou des œuvres vocales telles que « l’Office des Oracles » pour trois groupes vocaux et instrumentaux, « Cris » pour 12 voix et « Sibylle » pour voix, percussions et bande, qui révèlent un tempérament résolument novateur dans tous les domaines sonores.

En ce qui concerne Tiento de 1957, il y a deux significations possibles pour ce titre qui fait référence à la fois aux « Tientos » ou « Ricercares » de Cabezon — recherches, essais sur l’orgue ou le clavecin  — et à un genre flamenco originaire de Cadix, au rythme très complexe, dérivant du rythme épitrite grec qui fut celui des Saturnales antiques. Deux directions de travail : recherches sur l’écriture de la guitare, instrument qu’Ohana avait encore peu exploré, et recherches de transposition de l’esprit du flamenco. L’auteur, qui voit dans le clavecin et la guitare deux instruments de même caractère, a transcrit le Tiento pour clavecin.

 

 

SONATE N° 1 OPUS 25 pour alto de Paul HINDEMITH (1922)

I. Breit (s’enchaîne avec le II.)
II. Sehr frisch und straff
III.Sehr langsam
IV. Rasendes Zeitmass. Wild. Tonschönheit ist Nebensache
V. Langsam, mit viel Ausdruck
Alto: Alain BALDOCCHI

 

Paul Hindemith commence des études d’alto à l’âge de neuf ans à Francfort et entre à quatorze ans à la Hochschüle für Musik de Francfort. Son père est tué durant la Première Guerre mondiale. Il mène une carrière d’interprète parallèlement à une activité de compositeur. Il joue de 1915 à 1923 à l’opéra de Francfort. De 1921 à 1929, il est l’altiste du fameux quatuor Amar au sein duquel il milite activement en faveur de la musique d’avant-garde. Dès 1927, il est nommé professeur de composition au conservatoire de Berlin, puis en Suisse où il finit par émigrer en 1938, après avoir entretenu des relations compliquées avec les autorités nazies, bien qu’ayant accepté certaines fonctions officielles comme d’être membre de la Chambre de la Musique du Reich. En 1940, il part aux États-Unis où il enseigne à l’université Yale, comme professeur de composition, de 1940 à 1953. Il y obtient la nationalité américaine en 1948. Il rentre en Europe après la guerre. Il retourne fréquemment en Allemagne fédérale jusqu’à sa mort à Francfort.

Sa rythmique, désignée sous le nom de Motorik (« motorisme »), est percutante et se veut, à l’instar de la machine, obsédante. Elle se fait l’écho de l’ère industrielle, Hindemith répugnant à la sentimentalité, à la subjectivité et à la psychologie. Ainsi, entre musique moderne et musique néoclassique, signe-t-il une musique très personnelle qui a pu être qualifiée de Gebrauchsmusik (musique utilitaire). Son œuvre est particulièrement riche, comptant plus d’une centaine de compositions et touchant à tous les genres.

Sonate de Radamès GNATTALI (1969)

1- Allegro comodo

2- Adagio

3- Con spirito 

Guitare: Véronique SULBOUT

Violoncelle: Florence LAUGÉNIE

 

Radamès Gnattali (1906 Porto Alegre -1988 Rio de Janeiro) est un pianiste brésilien, chef d’orchestre de la radio, et compositeur. Ce musicien appartient à une génération de  compositeurs brésiliens dont le travail est caractérisé par le mélange des rythmes typiques avec des éléments du jazz et de la musique classique. Ce  métissage de styles traditionnels, populaires et classiques se trouve dans le travail de nombreux compositeurs argentins comme Alberto Ginastera et Astor Piazzolla, ou comme le brésilien Heitor Villa-Lobos,  le compositeur mexicain Carlos Chavez et le compositeur américain Aaron Copland pour n’en nommer que quelques-uns. La guitare occupe une position de premier plan dans l’oeuvre de Gnattali, avec six compositions solo, trois concertos en solo, trois concertos en duo et de nombreuses oeuvres de musique de chambre. Parmi ces dernières, la Sonate pour violoncelle et guitare, composée en 1969, est la plus connue aujourd’hui. Construite en trois mouvements, classiquement de

forme sonate, la Sonate de Gnattali contient des éléments harmoniques mélodiques et rythmiques propres à ce style de composition éclectique.

 

DIALOGUES DE CORDES  (2014 Création Mondiale)

Voix: Suzanna ROSANDER

Oud et voix: Ihab EZZELDIN

 

Ce dialogue  vient d’une rencontre artistique insolite et originale: il s’agira d’une composition  » de l’instant » en temps réel  en arabe littéraire et néerlandais pour cordes vocales et cordes pincées, sur les thématiques de la paix, de l’amour, de la mère et de l’espoir.

 

TIERKREIS, six signes zodiacaux  pour quatuor à cordes de Karlheinz STOCKHAUSEN (arrangement Marybel DESSAGNES) (1975/2012)

I. Verseau

II. Poisson
III. Cancer

IV. Lion

V. Vierge

VI. Scorpion

Violon: Mariko BAUJARD

Violon: Mislava BENSAID

Alto: Vanessa LETEURE

Violoncelle: Florence LAUGENIE

 

 

Karlheinz Stockhausen disparu en 2007, c’est le XXe siècle qui s’éloigne de nous. Sa puissance créatrice, son utopie donquichottesque, son pragmatisme professionnel, son aptitude à l’autopromotion, son esprit visionnaire et son intransigeance souvent provocatrice, font de lui une figure hors du commun, mais ne manquent pas non plus de nous poser quelques questions. Si toute sa personnalité semblait tendre vers la conquête d’un au-delà, il me semble pertinent aujourd’hui de scruter comment, « au-delà » de cette personnalité, émerge cette œuvre riche, diverse, mais parfois déroutante.

Une famille de souche paysanne. Une enfance marquée cruellement par la guerre : mère internée en 1932 puis assassinée en 1941, victime de la politique nazie d’euthanasie des handicapés mentaux, père engagé volontaire dans la Wehrmacht et disparu sur le front de l’Est en 1945. Engagé comme brancardier à seize ans en 1944, pianiste de bar, travail en usine, petits boulots pour gagner sa vie parallèlement à des études brillantes à l’université de Cologne. En 1951, aux cours de Darmstadt, il fait la rencontre du compositeur belge Karel Goeyvaerts, qui semble avoir exercé une forte influence théorique sur lui, mais dont le nom n’est curieusement jamais mentionné. Il passe une année dans la classe d’Olivier Messiaen au Conservatoire de Paris qui reconnaît en lui « un génie », selon ses propres termes. Il y fait la connaissance de Pierre Boulez qui deviendra bientôt son alter ego en France. Stockhausen fait aussi un bref séjour au Studio d’Essai de Pierre Schaeffer avec lequel il rentrera très vite en conflit. Très rapidement, il se fait remarquer comme l’un des compositeurs les plus remarquables de toute sa génération et, en l’espace de cinq ans, ce jeune orphelin de guerre devient un compositeur de tout premier ordre en Europe et bientôt dans le monde.

Il s’établit près de Cologne, et participe à toute l’aventure musicale de l’après-guerre : le sérialisme, la musique électronique, la musique aléatoire, les œuvres spatialisées. Il enseigne, constitue son propre groupe de musiciens (à l’image des groupes pops), compose des œuvres dont les dimensions échappent peu à peu aux dimensions habituelles des concerts. On le décrit volontiers comme une sorte de gourou, visionnaire, autoritaire et mégalomane. Les anecdotes pleuvent sur son compte car il n’évite pas les déclarations provocatrices. Il provoque un tollé en affirmant que les attentats du 11 septembre constituent la plus grande œuvre d’art jamais réalisée avant d’affirmer qu’il s’agit du chef-d’œuvre de Lucifer, donc du Mal, qu’il ne cautionne pas. Il est profondément catholique, ouvertement polygame, et ne cache pas ses attirances pour les croyances mystiques, les philosophies orientales et même les extraterrestres.

 

Décrit par un critique comme une  « naïveté mélodique », Tierkreis s’est avérée  être la composition la plus populaire de Stockhausen. Tierkreis a été écrit au départ pour des boîtes à musique jouées par 6 percussionnistes pour une pièce de théâtre  intitulé Musik im Bauch . Stockhausen a utilisé les mélodies Tierkreis dans la section centrale de Sirius (1975-1977), une heure et demi de long opéra de chambre pour soprano et voix de basse, trompette, clarinette basse, et huit canaux de la musique électronique .

 

 

 

 

 

 

L’association EXPRESSIONS XX et I a vu le jour en février 2011 grâce à une convergence d’idées, d’efforts, et de travail d’un groupe de musiciens professionnels pour la plupart professeurs au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Cannes et/ou solistes à l’Orchestre Régional de Cannes PACA, et de compositeurs provenant du monde entier.

Elle compte actuellement plus d’une trentaine de membres, dont près d’un tiers de compositeurs. Mon idée initiale, en tant que compositrice, était de mieux faire apprécier la musique de chambre des XXème et XXIème siècles, souvent mal ou peu connue d’une grande partie du public, pourtant mélomane. EXPRESSIONS XX et I s’est donné pour but de diffuser et rendre accessibles ces répertoires, notamment par des conférences, ateliers, et évènements ou concerts à thèmes commentés.

 

Marybel DESSAGNES, présidente

 

http://expressions-vingt-et-un.fr/